Voyage En Belgique, Vers L’Enfer. (19/20)

Pour aider le plaisir à monter en moi, je ferme les yeux, un mouvement dans le Spa et la bouche de Lucas qui me quitte rapidement remplacé par une autre que je connais bien, je n'ose ouvrir les yeux de peur de découvrir le regard de Lucas après le baiser donné par Marjorie, je suis tellement tétanisée que la jouissance qui allait m’envahir reflue.
Il faut bien que je retrouve ma vision, Marjorie est collée à moi et Lucas regard notre baiser à quelques centimètres de nous, elle quitte ma bouche pour reprendre celle d’Armel, la mienne de nouveau libre, Lucas la récupère me prouvant par ce geste qu’il n’est pas offusqué.
D’un coup il s’écarte de moi.

• Assez d’amusements, les filles, j’ai réservé une table dans un restaurant et il est l’heure de nous y rendre.

Nous quittons le Spa, Lucas prend une serviette et m’essuie délicatement, les jeunes en font de même de leur côté.

• Venez, je vais vous montrer vos chambres.

La scène est irréelle, trois filles nues et un homme en caleçon monte un escalier.
L’homme chevaleresque nous devance, portant un maximum de nos sacs récupérés sur la terrasse.
Un goujat se serait empressé de nous suivre pour avoir une vue imprenable de nos fessiers chaloupant à chaque pas.
Ils désignent deux chambres contiguës aux filles.

• Lucas, une seule nous suffira.

En disant cela Marjorie récupère des sacs grâce aux marques, prend Armel par la taille et la fait entrer dans la chambre en refermant la porte, je suis seule sur le palier toujours aussi nu et avec en face de moi l’homme dont je suis tombée amoureuse.

• En ce lieu, où là ?

Il me montre deux portes. Une à droite, l’autre à gauche.

• La tienne !

La porte qu’il ouvre pourrait être, je l’espère la mienne jusqu’à la fin de ma vie.
Je le laisse entrer referme la porte et le prends dans mes bras, il me repousse tendrement.



• Arrête, regarde comme j’ai envie de toi, mais nous allons être sérieusement en retard.

Il ne ment pas lorsqu’il me dit avoir envie de moi, la barre que je vois tendre son caleçon me le prouve.

• Notre salle de bains est là !

Je suis comme une midinette à ces mots, « notre salle de bains », je me douche, je reviens dans notre chambre même si nous n’avons pas encore consommé notre union, j’ouvre mes sacs, choisissent une tenue, des sous-vêtements et des chaussures.
Retour à la salle de bains pour me maquiller d’où je sors assez satisfaite du résultat.
Quand je le rejoins, Lucas est habillé, il a troqué son costume trois-pièces pour un complet sport en tissu léger, le faisant ressembler à un sujet de sa majesté, certains diraient qu’il est légèrement démodé, je dis qu’il a une classe folle.
Nous n’oublions pas de nous embrasser, je lui essuie le coin des lèvres où mon baiser a laissé des traces et je me remets du rouge à lèvres, nous sommes prêts à partir.
Sur le palier, je retrouve les bonnes manières et je tape à la porte de mes gazelles.
Les bonnes manières, que j’avais perdues dans nos chambres là-bas au bout du monde où nous entrions et nous sortions sans s’inquiéter de la pudeur des autres, mais c’était déjà dans une autre vie.
Ce sont bien des gazelles qui sont prêtes à nous suivre, Gazelle, car elles sautent comme des cabris autour de nous, nous reprenons la voiture, pour arriver au restaurant à deux pas de la maison, nous aurions pu venir à pied, mais je comprends le monde dans lequel Lucas vit et je me soumets à sa façon de faire.
Lucas à réserve la table là mieux située de l’établissement, le repas se passe dans la bonne humeur, une musique de fond diffuse des musiques douces, fine du repas, la musique s’arrête, le chef cuisinier en tenue avec sa toque arrive avec un magnifique gâteau décoré par des bougies scintillantes, la marche nuptiale retentie.
Lucas se lève, s’approche de moi mais un genou à terre et sort un écrin de sa poche qu’il ouvre.


• Léa veux-tu m’épouser ?

Subjugué par cette demande, Pierre ne s’étend jamais prêté à la tradition, quand on connaît la suite et son aversion pour les femmes, on comprend pourquoi je regarde, la bague, la jauge regarde si elle est digne de moi, si les cara du diamant, vaut une corde pour la vie.
Mais non, après l’enfer que j’ai vécu, je peux bien m’amuser un peu, je reste classique, mes yeux sont au bord des larmes, ce qui m’empêche de voir quoi que ce soit, même si le regard que je lui porte dit tout l’amour qui m’envahit.
Toute la salle est pendue à mes lèvres pour entendre ma réponse.

• Oui, mon amour !

Les convives se lèvent et applaudissent à tout rompre, les plus actives sont les filles qui doivent se faire mal aux mains à les claquer l’une contre l’autre.
Lucas s’avance passe la bague à mon doigt et me prend tendrement dans ses bras.
Que son baiser est langoureux et excite ma petite chatte !
Comme toutes les femmes dans ce moment-là, ma vulve mouille ma petite culotte, les filles prennent le relais et Marjorie à même l’outrecuidance de prendre ma bouche.
Le geste est tellement naturel qu’aucune des personnes ne semble s’offusquer, Armel m’embrasse, je lui touche simplement le coin des lèvres avec les miennes.
Le dessert est succulent, comme tout le repas, nous décidons de partir, quand nous prenons le chemin de la sortie ma main dans sa main, une fois de plus, les convives applaudissent.
Le retour vers la maison se fait dans la bonne humeur, j’allume le plafonnier pour admirer la bague, c’est un magnifique diamant dont je suis incapable de vous dire le nombre se carra et pour vous dire, je n’en ai rien à faire, c’est simplement celle que Lucas m’a offerte.
La voiture garée, nous passons par le salon où Lucas a préparé des coupes et une bouteille de champagne qu’il sort du réfrigérateur incorporé dans son bar.
Nous trinquons tous ensemble et les coupes terminées, nous prenons le chemin des chambres, arriver au palier, nous embrassons les filles et avants de pénétrer, nous échangeons un nouveau baiser.

J’ai peur de franchir cette porte, quand je le fais, je me dirige directement dans vers la salle de bains, je reste figé devant le miroir, comme une midinette, j’ai le trac.
Ce qui me fait hésiter à le rejoindre alors que tout mon corps me demande de courir vers lui pour être étreint, mon dilemme est immense, comment aborder Lucas au lit dans quelques minutes ?
Dois-je lui laisser l’initiative au risque que par pudeur ou par manque de connaissance des plaisirs sexuels, nous restions à la porte de nos embrasements ?
Dois-je prendre l’initiative avec lui aux risques qu’il ait l’impression que la pute que l’on m’a à l’être est dans son lit ?
Qu’a-t-il fait sexuellement depuis sa jeunesse !
Aime-t-il dominer ou être dominé ?
Si j’attends qu’il me brusque et qu’il ne le fait pas, est-ce que je ne risque pas de me retrouver dans la même situation qu’à Valenciennes et finir par refuser tous les amusements qu’un couple peut avoir envie de pratiquer.
Et les dernières pensées qui me viennent avant de plonger dans ma nouvelle vie, c’est que j’adore être léché, bousculer, pénétrer et même sodomiser.
Un, deux, trois, j’y vais, et je ne bouge pas.
Il me faut trois décomptent pour le rejoindre, il est assis au pied du lit, appuyé sur son bras.
Il se relève, s’approche et me prend les lèvres, ce qu’il y a de bien dans ces moments-là, c’est que les plans que l’on a élaborés ne servent plus à rien, mon corps ne m’appartient plus, mon cerveau est déconnecté.
Comment suis-je poussée nue sur le lit où j’atterris, la verge de Lucas tendue sans que je la touche !
Comment a-t-il fait pour que ma chatte la sente s’incérer entre mes lèvres, que mon clitoris sente les petits mouvements qu’il lui fait subir avant de plonger intégralement en moi.
Comment m’embrasse-t-il en me malaxant les seins !
Pour la première fois, je fais l’amour en femme aimant et non pas en pute bonne à se faire tringler pour faire plaisir à mes souteneurs.

Une fois de plus c’est pensé qui me traverse montrent les dégâts que les mois de galères que les maquereaux m’ont fait subir à marquer mon être profond.
La seule chose que je peux faire, c’est de battre des bras au-dessus de ma tête pour l’inciter à continuer, je sens que sa flèche va se consumer, je sens que ma chatte va exploser, et c’est ensemble que nous réussissons à jouir en totale fusion.
Je sens ses traits de sperme inondé mon intimité, sans qu’il me quitte, il se laisse reposer sur moi !

Malgré son poids, j’ai l’impression qu’un sac de plume est posé sur mon ventre, je ne peux dire si nous avons dormi, si nos yeux se sont quittés, sa vigueur est relancée dans mon ventre me ramenant à la réalité.
Comme un fétu de paille, je me sens ballotté, mis en position de levrette et pénétré de nouveau dans ma chatte.
Je sens sa main passée sous mon corps, prendre mon clito entre ses doigts et lui faire mal sans aller jusqu’à la douleur malsaine.
Je ne sais pas comment il fait, mais je repars vers les sommets que j’apprécie tant.
Mon cri quand j’arrive au point d’orgue de mon plaisir doit réveiller mes copines dans l’autre chambre si tentée qu’elles soient endormies, je passe ma main entre nous et je me saisis de sa verge, je la recule et la place en contact avec mon petit trou.

• Puis-je, mon ange ?

Au lieu de répondre oui, je donne un violent coup de rein en arrière ce qui le plonge jusqu’aux couilles dans mon fondement, un instant surpris, il me prend par les hanches et m’assène de violents coups avec sa verge.
Je voudrais bien faire fonctionner mes sprinters, mais la charge est si violente que je ne peux que subir.
Comme par-devant ou par-derrière, nous jouissons en pleine osmose, mon anus apprécie sa semence qu’il luit envoi.
On peut comprendre que de tels assauts obligent nos corps à se régénérer, c’est ce que nous faisons en nous endormant étroitement enlacer.

Quand je me réveille, je le laisse dormir, à 6 heures du matin, il a bien le droit de récupérer quelques minutes encore avant de rejoindre son entreprise.
Les mauvaises habitudes restent, c’est nu que je descends, comme toute femme, la curiosité n’est pas leur plus petit défaut, les pièces sont spacieuses et toutes bien éclairées dans le jour naissant.
La pièce que je cherchais est à la hauteur de tout l’ensemble, la cuisine ultra-moderne me permet après quelques recherches de m’apercevoir que le café en grains est directement dans la cafetière.
J’arrive à la mettre en service, en affichage, je peux lire, « remplir le réservoir, je mets trois minutes à le trouver et deux pour pouvoir déguster un expresso italien.
Je fouille un peu et fier de moi, je peux contempler une table, où rien ne manquera à mon seigneur et maître…

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